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La vie tel un cierge lentement se consume pour chercher vers le ciel ce qu'il n'a pas trouvé !
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Supplique aux petits enfants qui savent lire,
Je dédie ce poème, à Pascal mon neveu
Car je n’ai pas su voir, qu’il était malheureux
A ceux qui comme lui, firent le choix de mourir
Et que l’on n’a pas su, empêcher de partir.
A tous ceux qui ont mal,et qui sont encore là
Et qui risquent de s'en aller, sans qu’on ne le voit pas
Sous bien des flots de larmes, nous nous voilons la face
Quand on les aime trop tard, ils ont laissé la place.
Le titre de ce poème, peut paraître insolite
Mais il le sera moins, si vous lisez la suite
Car il fallait bien çà pour me faire reconnaître
De ceux qui parmi nous, ont bien du mal à être
Tu as bientôt vingt ans, un peu plus, un peu moins
Ta vie te semble vide, elle ne te sert à rien
Mais moi je le sais bien, ta vie tu l’aimes encore
De l’espoir à revendre et tu n’aimes pas la mort.
La solution l'idée que sans cesse tu repousses
Sans que personne ne court ne vienne à ta rescousse
Tous ces hommes qui t’entourent n’ont encore rien compris
Trop occupés qu’ils sont à ne vivre que leur vie.
Il me faut bien admettre que tu fût un artiste
En cachant ta misère, paraissant optimiste
Bien sur je sais aussi mais il est un peu tard
Que si on le veut bien,tout fini par se voir.
Je l’ai vu ton regard vers un enfant tourné
La détresse de tes yeux qui me fit frissonner
Car la vie je le sais t’émerveille, te fascine
Pourtant à travers toi, c’est lui qu’on assassine
Tu as bien de la chance, saches que dans ton malheur
Du jour de ta naissance et jusque tout à l’heure
Tu connais plus que d’autres le mystère de la vie
Alors attends un peu écoutes moi, réfléchis.
Ne fais pas de connerie, je t’aime je tiens à toi
Si tu es fatigué, appuies toi bien sur moi
Tu vas voir c’est très simple je vais tout t’expliquer
Même si le dire en vers me paraît compliqué
Puisque la vie pour toi, n’a vraiment plus de sens
Et qu’a y mettre un terme de plus en plus tu penses
Au lieu de la détruire, reconstruit celle d'un autre
Et d’un certain Jésus tu deviendras l’apôtre.
Il y a des gens qui t’aiment mais qui ne le disent pas
Car ils attendent aussi ce que tu ne fais pas
Alors donnes l’exemple, lances toi, aimes les
Et de larmes de joie leurs yeux seront voilés.
Tu oublieras ta vie ne pensant qu’a leur joie
Et en les regardant c’est toi que tu verras
Alors je t’en supplie fais moi un peu rêver
Cette supplique c’est pour toi que je l’ai composée.
Ange Paul COSTANZO Villefranche/Saone le 12 Mars 2001.
2 commentaires -
Mon Dieu n'est pas le votre mais c'est le mien !
Le votre vous semble extraordinaire ! Le mien beaucoup plus simple ! Alors acceptez l'idée que ce Dieu me parle ! Je crois que c'est le même qui parla à Moïse ! A Jésus ! A Jeanne d'Arc !
Ces trois là ont vu de leur vivant les hommes refuser l'idée d'un Dieu qui n'était pas la leur ! Je ne serai qu'un de plus !
L'avenir dira très certainement qui avait raison !
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